La Ligue monarchiste du Canada

Tournée royale de 2011 :
Se tourner ensemble vers l’avenir

Ottawa · Montréal · Québec · Charlottetown · Summerside · Yellowknife · Calgary

« La Canada a vraiment depassé tout ce qu’on nous avait promis.
Retourner chez vous, c’est notre promesse au Canada. »
—Le duc de Cambridge

« Je ne doute pas que, en apprenant ainsi à mieux connaître ce pays et ses habitants, le duc et la duchesse tisseront des liens d’affection durables avec le Canada et les Canadiens et Canadiennes, comme l’a fait Sa Majesté la reine ces 60 dernières années, c’est-à-dire depuis sa première visite, à titre de princesse Elizabeth, en 1951, lorsqu’elle était âgée de 25 ans. » —le premier ministre Stephen Harper, le 30 mai 2011

Les Canadiens sont honorés et enthousiasmés que William et Kate aient choisi le Canada pour leur première tournée outre-mer alors que des souvenirs encore frais à leur esprit persistent des manifestations d’enthousiasme et des célébrations domestiques inouïes à la grandeur du Commonwealth de même que des foules qui ont ovationné leur mariage à Londres le 29 avril. Le gouvernement du Canada à adopté comme thème de la tournée la devise
« Se tourner ensemble vers l’avenir ».

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Foire aux questions concernant la Tournée royale

  • Q: Comment justifiez-vous les coûts de cette visite?
  • R : La visite coûtera six ou sept sous par canadien. Les hauts fonctionnaires du ministère du Patrimoine Canadien ont note que le calcul de ce montant est basé sur les dépenses encourues lors de visites précédentes, et ne représente pas un investissement supplémentaire pour le gouvernement. Bien au-delà de l’importance de la visite des futurs  roi et Reine du Canada, et de l’énorme plaisir que leur venue apporte aux millions de canadiens, la présence de leurs Altesses Royales infuse également des sommes de plusieurs fois le montant encouru dans les économies des provinces et des villes qu’ils visiteront par le biais des bons gestes des gens en place, des touristes, avec une présence médiatique monstre, sans compter la publicité générée qui encouragera de futurs visiteurs. Pour ne citer qu’un exemple, les médias rapportent que la ville d’Ottawa sera le site d’un des plus grands événements publics jamais tenus au Canada—leurs actes de présence et les déplacements prévus pour le Jour du Canada—avec les réservations dans les hôtels et celles pour la plupart des itinéraires des grandes lignes de transport ce jour-là, qui sont rapportées comme toutes vendues.

  • Q : Pourquoi faire tant de chichis? Pourquoi devons-nous avoir une tournée royale même, alors que les médias couvrent déjà amplement la Famille Royale?

    R : Une des forces de la Monarchie Canadienne est qu’elle donne un visage humain au gouvernement dont les autres éléments semblent souvent impersonnels (bureaucratie) ou servent des intérêts particuliers (politiciens). Il est normal donc pour les canadiens de vouloir connaître William et Catherine en tant que personnes, insistant sur le fait que notre Famille Royale est essentiellement considérée comme membre de notre famille étendue. Ils peuvent parfois sembler captifs du glamour mondain et être traités par les médias comme des célébrités; cependant la plus grande part de leur vie quotidienne est vouée au devoir : au support des éléments essentiels qui sous-tendent la société civile—à apporter un soutien aux bonnes causes et aux œuvres de charité, faisant la promotion de la bonne volonté, honorant la bravoure de nos vétérans et personnel militaire, et encourageant le volontariat. Pouvoir rencontrer le Duc et la Duchesse lors de leurs déplacements aux alentours de la capitale, ou les rejoindre en les suivant dans les foules et les voir en sol canadien, réaffirme les liens ancestraux et d’affection entre la Couronne et les canadiens.

  • Q : Pourquoi tant de gens, dans le public et les medias—même dans la ligue monarchiste—se référent au Couple royal par le vocable William et Kate? Cela n’est-il pas irrespectueux?

    R : Aucun manque de respect n’est démontré quand on parle familièrement de leurs Altesses Royales en les appelant « William et Kate ». Il y a des moments spécifiques pour l’utilisation de leurs titres officiels. Mais, comme dans notre propre famille, la plupart du temps on se réfère aux membres de celle-ci de façon plus familière, en utilisant leurs prénoms ou leurs surnoms. La psyché mondiale populaire avait choisi le terme flagorneur et inexact de—« Lady Di »—pour la mère de William, ce qui démontrait sa grande popularité. Pareillement, le Commonwealth s’est souvent référé à la regrettée Reine-Mère sous le vocable de « Queen Mum ». Nous nous référons à la Famille Royale de la même façon qu’à notre propre famille, ainsi nous disons « Élizabeth et Philip », « Charles et Camilla » et ainsi de suite.

  • Q : Toronto et Vancouver sont deux des villes les plus grandes au Canada, pourquoi elles ne sont pas inclues dans l’itinéraire de la tournée royale?

    R : Le premier ministre et d’autres représentants officiels ont établi clairement que la visite de cet été ne sera que le premier de plusieurs « retours au pays » à venir, pour William et Catherine, durant lesquels chaque communauté importante, et plusieurs des plus petites, vont attendre impatiemment leur tour d’accueillir le couple. En tant qu’officier de la Force aérienne royale, William consacre la plupart de son temps à ce métier exigeant et souvent risqué de pilote d’hélicoptère de sauvetage, basé à Wales, de sorte que les tâches officielles qu’il est tenu d’accomplir au nom de La Reine doivent respecter un échéancier qui tient compte de cet engagement. L’itinéraire pour cette première tournée par le couple leur permettra de visiter brièvement la Capitale de chacune des régions du Canada avant qu’ils n’entreprennent leur participation à l’événement d’une œuvre de charité pendant quelques jours à Los Angeles. On remarquera que non seulement ni Toronto, ni Vancouver ne font partie de l’itinéraire de LAR pour cette visite, mais également d’autres capitales provinciales et centres urbains importants tels que St John’s, Fredericton, Halifax, Sherbrooke, Hamilton, Winnipeg, Regina, Edmonton et Victoria ont été exclus.

  • Q : Pourquoi le prince William ne peut-il pas devenir roi immédiatement après le décès de la reine?

    R : Des canadiens bien intentionnés qui admirent le Prince William demandent parfois cette question, En premier lieu, c’est virtuellement impossible constitutionnellement car modifier l’ordre de succession au Trône impliquerait le consentement de chacun des royaumes du Commonwealth (des pays où, comme au Canada, la reine est la chef d’état). Dans le cas du Canada, cela pourrait probablement exiger que chacune des législations provinciales débatte de ce changement et l’approuvent, un processus long et politiquement lourd qui peut permettre l’introduction d’amendements selon l’agenda personnel ou politique par les provinces pour prendre en otage cette altération de l’ordre de succession—nous nous rappelons tous ce qui est arrivé lors de « la réouverture » de la Constitution. Or, d’autre part, le prince de Galles, un expert engagé, intellectuel et dédié dans des domaines comme l’environnement et l’architecture, jusqu’à son expertise en relations entre l’Occident et l’Islam, a été entraîné dès son plus jeune âge à exercer sa fonction de roi. Au-delà de ces considérations, les gens qui admirent William et Catherine peuvent, à la réflexion, leur souhaiter ce qui a été dénié à notre présente reine, quelque années de vie matrimoniale relativement « normale » durant lesquelles ils élèveraient leurs enfants loin des pressions et formalités de la tâche qui incombe au roi régnant.

  • Q : Je comprends que William deviendra roi du Canada un jour, mais que sera le rôle de Catherine durant ce temps?

    R : Quand William deviendra  roi, Catherine sera titrée reine. Toutefois, il y a une importante distinction à faire entre ces titres. William sera le monarque régnant, le roi du Canada et le chef d’état, exactement comme la Reine l’est aujourd’hui. Le titre de Catherine en sera un de courtoisie et de respect, comme Reine Consort, occupant la même position que la bien-aimée Reine, la regrettée Reine-Mère, qui était titrée « Reine Elizabeth » durant le règne de son mari George VI. Son rôle sera également analogue à celui du duc d’Édinbourg aujourd’hui. En d’autres mots, la future Reine Catherine dispensera son amour et son soutien au trône, mais n’occupera ni n’exercera de position constitutionnelle formelle.


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mrw@mta.ca
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867-765-8378
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Ontario
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647-834-4549
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